AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
VOUS ETES DES HÉROS (nolaan&ana) « J'ai pas trouvé les mots pour expliquer l'inexplicable. J'ai pas trouvé les mots pour consoler l'inconsolable » 4239867243
le forum a besoin de vous afin d'amener des petits membres adorables en notre sein.
donc n'hésitez pas à mettre un petit message sur BAZZART mais aussi sur PRD
Le Deal du moment : -55%
Coffret d’outils – STANLEY – ...
Voir le deal
21.99 €

Partagez
 

 (nolaan&ana) « J'ai pas trouvé les mots pour expliquer l'inexplicable. J'ai pas trouvé les mots pour consoler l'inconsolable »

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Anaztasia Dixon
Anaztasia Dixon
STAFF ▲ i don't have a gentle heart
➙ post-envoyés : 323
➙ à galway depuis le : 07/04/2013
➙ célébrité : Nina Dobrev
➙ pseudo/prénom : Elodie
➙ copyright : (c) darkdreams
➙ multi-comptes : cataleya sullivan
➙ âge : vingt-quatre ans.
➙ statut : célibataire mais encore amoureuse de son ex.
➙ emploi : serveuse au The Blue Note.
➙ adresse : uc.
➙ humeur : lunatique.
➙ envies : manger du chocolat. ▲ que ma vie reprenne là où je l'avais arrêter avant de partir de Galway. ▲ être à nouveau stable.
FLORENT MOTHE✤ LES BLESSURES QUI NE SE VOIENT PAS


(nolaan&ana) « J'ai pas trouvé les mots pour expliquer l'inexplicable. J'ai pas trouvé les mots pour consoler l'inconsolable » Empty
MessageSujet: (nolaan&ana) « J'ai pas trouvé les mots pour expliquer l'inexplicable. J'ai pas trouvé les mots pour consoler l'inconsolable »   (nolaan&ana) « J'ai pas trouvé les mots pour expliquer l'inexplicable. J'ai pas trouvé les mots pour consoler l'inconsolable » EmptyLun 17 Juin - 19:33



J'ai pas trouvé les mots pour expliquer l'inexplicable.
ft. nolaan pierce, anaztasia dixon.
qu'est-ce que ça pouvait être bizarre de se retrouver ici. de se retrouver dans la ville où j'ai grandit. Galway c'est totalement différent de New-York. j'ai eu du mal à m'habituer à la grande pomme, l'Irlande m'a toujours manqué. mais maintenant que je suis ici, j'ai l'impression d'être une étrangère, une étrangère qui connait chaque rue, chaque ruelle.  en réalité, ça ne vient pas de la ville mais de moi. ça vient du faite que je me suis enfuis d'un seul coup sans avertir personne en laissant qu'un seul petit mot à Nolaan. j'ai été lâche et je le sais. je sais que les gens vont me regarder d'un mauvais œil, qu'ils me détesteront tous. ce n'est pas grave car l'important, c'est qu'il ne sache pas, qu'il ne prenne pas pitié de moi à cause du cancer que j'ai eu. plus rien ne se voit. il ne me reste plus qu'une cicatrice sur le corps. j'ai repris mes cheveux. j'ai désormais un visage ordinaire et non plus un teint  blanchâtre avec des cernes à faire peur un zombie. j'ouvre le volet de ma chambre. un joli endroit bien loin de la mini maison qu'on louait avec Blüe à New-York. on retrouve cette verdure, les oiseaux qui chantent, la douceur du temps, l'humidité pratiquement tout le temps constante. la pluie j'ai toujours aimé ça. j'ai toujours aimé me mettre dessous en levant la tête au ciel pour laisser tomber les gouttes sur mon visage. c'est tellement agréable, vous avez l'impression d'être dans un autre monde et fera que tout le reste n'existe plus. je crois que la prochaine fois qu'il pleut, je le ferais. juste pour le plaisir de retrouver ce côté enfantin que j'avais. un côté qui a disparu bien vite. qui n'a jamais vraiment exister vu la façon dont ma vie a pris un tournant dès le début. un père adoptif abusant de moi. un avortement à seize ans à peine. la drogue qui vous détruit à petit feu avec les conneries qui vont avec. mon cancer. le destin n'est pas clément avec moi. je n'y crois pas mais je me dis que s'il existait, je l'insulterais de tous les noms  face à ce qu'il m'a donné. il parait qu'au bout du tunnel noir, on voit enfin la lumière.  je pense pas voir la lumière un jour. j'étais bien quand j'étais avec Nolaan, il réussissait à faire sortir le meilleur de moi.  il était le seul. il était le seul à m'avoir guérit d'un passé minable. et moi je l'ai laissé comme ça. j'ai pris la fuite en ne lui expliquant rien du tout. je l'aime encore. et c'est bien la seule que je sais. le reste est flou. la distance m'a montré à quel point, j'ai besoin de lui, à quel point je ne suis pas entière quand il n'est pas près de moi. seulement, il ne me pardonnera pas et je ne vais pas lui en vouloir. c'est normal. j'ai été celle qui a tout foutu en l'air. et puis, qu'est-ce qu'il l'aurait poussé à rester seul. il est peut-être marié avec une femme adorable, il va peut-être père. je ne veux même pas y penser. je sors de ma chambre à pas de loup. je ne sais pas si elle dort toujours dans la chambre à côté, je n'ai pas envie de la réveiller. je descends les escaliers m'installe dans la cuisine pour boire mon café tranquille, j'avale un truc sous le regard de mon chat. et oui, cette petite frimousse que j'ai récupérais alors qu'elle était toute seule. je n'ai pas pu me résoudre à la laisser aux Etats-Unis. je lui lance un petit bout de brioche qu'elle avale en quelques secondes. je souris.

j'ai eu la chance de trouver un emploi le premier jour de ma venue. un job dans un bar de la ville. pas le job du siècle mais en même temps, j'ai arrêté mes études sans avoir mon diplôme. ce qui est bien, c'est que je travaille le soir. la nuit, c'est plus mon univers. je me sens plus à l'aise. j'aurais dû dormir encore vu l'heure dont je me suis couchée. je ne suis pas une grande dormeuse. quelques heures ça me suffit. je m'apprête à aller me balader en ville seulement je ne vois pas ce que je peux faire. j'ai envie de le voir. j'ai envie d'entendre sa voix. j'ai même envie de l''entendre s'énerver contre moi. je suis folle mais ça fait tellement longtemps que n'importe quoi m'irait. je rentre dans ma voiture et conduit vers le garage. quand je vois l'enseigne au loin, je m'arrête un peu avant. j'ouvre le capot et enlève quelque chose à l'intérieur. je n'y connais rien en voiture donc je laisse le hasard faire les choses. je balance le truc dans la première poubelle que je trouve. heureusement la voiture se rallume et j'arrive à me garer sur le parking du garage. je sors de la voiture avec une boule au ventre. j'ai cette envie de faire marche arrière. de partir en arrière et rentrer à la maison. je respire un bon coup et m'avance vers l'entrée. je passe ma main dans mes cheveux. l'endroit n'a pas changé. c'est toujours pareil. des tonnes de souvenirs reviennent. les fois où je venais le voir pour lui apporter à manger ou juste pour le voir. je m'installais sur une commode et je le regardais travailler. je passais de longues heures à le regarder. il ne semblait y avoir personne « Il y a quelqu'un ? » dis-je à voix avec un légère tremblement. ça n'avait jamais été mon genre d'avoir peur, de ne pas me lancer. le problème, c'était que tout ça était différent. que c'était bien la première fois que je ressentais du regret, que je me sentais abominable et que j'étais prête à tout pour quelqu'un.
code diesel
Revenir en haut Aller en bas
 

(nolaan&ana) « J'ai pas trouvé les mots pour expliquer l'inexplicable. J'ai pas trouvé les mots pour consoler l'inconsolable »

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» Je ne trouve pas de célébrité ! ♥
» NOLAAN ✽ i'm 90 % crap.
» nolaan + story
» nolaan + liens
» A propos du scénario de Nolaan

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
FOLLOW YOUR DESTINY :: Galway :: Flood Street-